Constatant la recrudescence des décharges sauvages, le CADE vient d’envoyer une lettre circulaire aux maires du Pays Basque et de quelques communes des landes.
Nous n’héritons pas de la terre de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants.
Quand le dernier arbre aura été abattu, quand la dernière rivière aura été empoisonnée , quand le dernier poisson aura été pêché, alors on saura que l’argent ne se mange pas.
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